Il existe diverses approches très complémentaires pour gérer les conflits : C’est ce sujet qu’ont développé André Miroux, Giorgia Sanfiori et Jean-Louis Montagnon lors du Forum PMI France-Sud, jeudi dernier à l’ESSI de Sophia-Antipolis.
Trois voies qui offrent des réponses pour gérer les conflits, à tous les stades.
André Miroux, consultant chez Scoop, rappela que le chef de projet doit en permanence anticiper, savoir détecter les signes avant-coureur de problèmes pour garder l’initiative et assurer la réussite de son projet. Une approche faite d’écoute et de formulation des signaux faibles, qui permet d’entendre tous les signes qui annoncent les orages. La technique qu’il nous présenta, basé sur le très simple code couleur des feux de signalisation, permit à l’audience d’acquérir les bases de cet outil extrêmement riche de travail d’équipe pour faire remonter des vues différentes et en débattre ensuite.
La communication avec des mots choisis, une approche bienveillante et positive qui favorise les accords, tel fut le thème de l’intervention de Giorgia Sanfiori. La communication non violente commence par une phase d’observation, sans porter aucun jugement, puis l’analyse du ressenti, l’identification du besoin non exprimé de « l’agresseur » avant d’exprimer le problème sous une forme plus ouverte au dialogue.
Et quand besoin, la négociation bien préparée et bien menée. Jean-Louis Montagnon, fort de son expérience au sein des armées, proposa quelques idées simples pour mener à bien nos négociations. Tout d’abord, s’assurer de la compréhension des objectifs par chacun. Puis revoir ensemble les moyens à disposition pour y parvenir, les contraintes également. Toujours faire progresser la discussion en commençant par des points non conflictuels qui permettent d’établir un climat de travail positif. Puis, ne pas hésiter à faire plusieurs synthèses partielles en cours de discussions pour bien acter les décisions, les accords, et ne pas oublier l’essentiel récapitulatif des décisions et actions dans le compte rendu de session.
Plus d’une centaine de personnes ont participé activement aux ateliers proposés lors du Forum.
Trois voies qui offrent des réponses pour gérer les conflits, à tous les stades.
André Miroux, consultant chez Scoop, rappela que le chef de projet doit en permanence anticiper, savoir détecter les signes avant-coureur de problèmes pour garder l’initiative et assurer la réussite de son projet. Une approche faite d’écoute et de formulation des signaux faibles, qui permet d’entendre tous les signes qui annoncent les orages. La technique qu’il nous présenta, basé sur le très simple code couleur des feux de signalisation, permit à l’audience d’acquérir les bases de cet outil extrêmement riche de travail d’équipe pour faire remonter des vues différentes et en débattre ensuite.
La communication avec des mots choisis, une approche bienveillante et positive qui favorise les accords, tel fut le thème de l’intervention de Giorgia Sanfiori. La communication non violente commence par une phase d’observation, sans porter aucun jugement, puis l’analyse du ressenti, l’identification du besoin non exprimé de « l’agresseur » avant d’exprimer le problème sous une forme plus ouverte au dialogue.
Et quand besoin, la négociation bien préparée et bien menée. Jean-Louis Montagnon, fort de son expérience au sein des armées, proposa quelques idées simples pour mener à bien nos négociations. Tout d’abord, s’assurer de la compréhension des objectifs par chacun. Puis revoir ensemble les moyens à disposition pour y parvenir, les contraintes également. Toujours faire progresser la discussion en commençant par des points non conflictuels qui permettent d’établir un climat de travail positif. Puis, ne pas hésiter à faire plusieurs synthèses partielles en cours de discussions pour bien acter les décisions, les accords, et ne pas oublier l’essentiel récapitulatif des décisions et actions dans le compte rendu de session.
Plus d’une centaine de personnes ont participé activement aux ateliers proposés lors du Forum.